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LES DIX SUJETS DE MAGAZINES FEMININS QUI SE FOUTENT VRAIMENT DE NOUS ET C’EST PAS PARCE QU’ON LES ADORE QU’IL FAUT NOUS PRENDRE POUR DES GOURDES

25 fév

Perdez 6 kilos sans souffrir en deux semaines
C’est quand même culotté de nous dire sans arrêt qu’il faut être nous-mêmes, Girl Power et Cie, pour nous conseiller ensuite de maigrir. Et puis, leurs régimes n’existent pas ! Perdre 6 kilos sans se priver, sans faire de sport, sans y penser, c’est n’importe quoi. Dissocier les gras saturés et les sucres lents, cuire à la vapeur avec de la crème à 0%, se régaler en ne mangeant ni viande, ni pâtes, ni pain, ni sel, ça nous gonfle après 10 heures de boulot et on finit au Mac Do.

Spécial Rondes
Les dossiers « Spécial rondes » des magazines sont la plus grosse arnaque de l’histoire du journalisme. Parce que leurs rondes là, elles sont surtout ultra bonnes. Et si on était rondes comme ça, on ne se plaindrait plus, on ne dirait plus rien, sages comme des images et tartine de Nutella à la main. Car non Biba, non Jeune et Jolie, non Marie Claire, Kate Winslet, Scarlett Johanson, Marilyn Monroe et même les filles de la pub Dove ne sont pas rondes, elles ne sont juste pas squelettiques, et c’est tout.

Spécial Test : qui êtes-vous vraiment ?
Faire des tests pour savoir quel sac à mains nous va le mieux ou si on est plutôt Carrie ou Miranda dans « Sex and the City », c’est cool. Ca prend deux minutes, ça veut rien dire, ça nous amuse. Par contre, le magazine qui a pensé un seul instant qu’on cherchait à avoir une réponse sérieuse à la question « qui êtes-vous vraiment ? » n’a rien compris au but même des tests. Moins bêtes qu’on en a l’air, on n’a pas besoin de répondre à un QCM pour savoir si on est égoïste, rancunière ou fleur bleue.

Rencontrer l’amour, c’est facile
A coups de témoignages et de souvenirs brûlants de lectrices, nos magazines nous l’affirment : l’amour se trouve au coin de la rue. Si si. C’est juste qu’on n’est pas assez ouverte/ curieuse/ réceptive pour s’en rendre compte. Et c’est donc de notre faute si on le trouve pas du coup ! Non vraiment cher petit magazine plein de journalistes qui ont trouvé l’amour à la laverie ou dans le métro, il faut que tu nous croies : on est ouverte, on regarde partout, mais l’amour, c’est comme le loup, il n’y est pas.

Cette fois ça y est, on se rebelle au bureau
Notre mag nous le dit : si notre vie au bureau ne ressemble pas à un mélange de « Vivement lundi » et « Ally McBeal », si on est mal payée, que notre patron est misogyne, que notre voisine sent la transpiration et que le mec de la compta mange du poisson pané dans l’open space, il ne faut pas se laisser faire ! Il faut déclencher la révolution, réclamer le dialogue, la parité, une augmentation, une chaise propre qui ne grince pas et l’ouverture d’une crèche en interne, et tout va bien se passer. Bah voyons…

Votre horoscope de l’année
Janvier, c’est le mois de la crise de foie, des bonnes résolutions, de la revente des cadeaux pourris de Noël sur eBay ET des horoscopes annuels de la presse féminine. Ce grand moment où trois magazines peuvent nous annoncer trois futurs complètement différents mais toujours avec la rencontre du grand amour histoire de ne pas nous déprimer pour un an, où les prévisions semblent écrites par des stagiaires entre deux photocopies, et où on se dit « l’année prochaine, je le lis pas, c’est trop nul ».

Les bons plans pour des vacances géniales et pas chères
A l’approche de l’été, nos magazines nous pondent des articles « bons plans » pour réussir nos vacances sans se ruiner avec photos promo à l’appui, bed & breakfast super pas cher et restaus locaux bons marchés. Sauf que deux choses : 1/ si ils les avaient essayés, ils auraient signalé le bruit de la clim dans les chambres et les cheveux dans la salade du chef, 2/ de toute façon on ne peut pas y aller, il fallait réserver un an à l’avance minimum. Bon bah, un coup de lastminute.com et c’est réglé.

Maquillez vous comme les stars
C’est hyper facile de se maquiller comme Eva Longoria ! Il suffit d’une base de fond de teint puis de poudre, de 3 couleurs fard à paupières différents, de mascara MAC, de rouge à lèvre Dior posé au pinceau, d’un truc à joues qui va très bien au mannequin mais pas à nous, sans oublier le trait sous les yeux qui ne coule même pas après son footing, mais qu’on a au niveau des joues à la réu de 11h. Se maquiller comme les stars, oui, mais s’il faut mettre un demi salaire dans le matériel, on ne va pas y arriver.

Les reportages avant/ après
Qu’est ce qu’ils peuvent nous énerver ces articles où une fille à cheveux gras, acné, jean trop grand et tee-shirt Mickey devient une bonasse en un coup de baguette magique ! Evidemment qu’en prenant un cas désespéré et en changeant ne serait-ce que ses lacets, c’est déjà tout de suite mieux. Evidemment que le coiffeur-visagiste de Catherine Deneuve est plus fort que le nôtre. Evidemment que sur papier glacé, c’est drôlement cool les bottes de pluie rose avec la mini robe Mage. Mais on n’a pas ça nous…

Rendez-le fou de désir
Encore faut-il être super sûre de soi, prête à vider le compte épargne pour une partie de jambes en l’air ou ne pas craindre les taches et trucs collants. Déjà, le coup du strip-tease assumé, c’est impossible même s’il paraît que les américaines ont toutes une barre de poll dancing dans leur chambre. Ensuite, les Love Hôtels au Japon, ça a l’air hyper excitant… mais c’est au Japon. Enfin, la cire de bougie froide sur le canapé et les restes de Nutella dans les rideaux, c’est plus possible.

LES DIX FRINGUES QU’ON A ACHETEES SANS VRAIE RAISON ET QU’ON NE METTRA ABSOLUMENT JAMAIS (MAIS DONT ON REFUSE DE SE DEBARASSER)

19 nov


Une robe bustier
Elle était si tentante en vitrine, si glamour sur Nathalie Portman, et si confortable  quand on l’a essayée à la boutique en gardant notre soutif par flemme de tout enlever. Ou par peur de la vérité. Parce qu’une fois dans la rue, l’ombre de nos chers seins qui se balancent dans tous les sens, ça nous rend dingue. Dans les transports, on croise les bras pour éviter qu’ils remuent en cas de secousse, et au bureau… bah on se rend bien compte que la robe bustier, c’est bien en soirée, ou rien.

Une combinaison pantalon
Au moment où on l’a achetée, on se voyait plutôt en Cybill Shepard dans « Clair de lune » qu’en Crusty le Clown. Elle nous semblait classe et sobre, et on l’imaginait portée avec chemise blanche et cravate, genre working woman qui s’assume et contourne les tendances. Bon, la réalité c’est qu’à part au ski, il ne faut pas porter le pantalon et le top en une pièce. Et depuis des années qu’elle traîne dans notre placard, on a eu beau tenter de la refiler aux copines/ tantes/ voisines, personne n’en veut.

Une nuisette hyper sexy
On l’a toute fait. Pour se remonter le moral en cas de déprime, pour pimenter un peu la soirée avec Loulou, ou juste pour se prendre pour les filles de Victoria’s Secret, on jette notre dévolu sur une nuisette sexy. Et on essaye de la porter. On se pomponne, on s’épile et tout, mais quand on entend les pas de chéri dans le couloir, on a soudainement honte et on enfile un jean et un pull en speed par-dessus. Boudée, elle finit en boule dans un tiroir, malgré son prix exorbitant pour un si petit bout de tissu.

Un manteau flashy
On a accumulé les manteaux noirs pendant des années, et un jour, on ne sait pas ce qui nous a pris, on a acheté un manteau flashy (orange / à grosses fleurs / avec la tête de Hello Kitty dans le dos, bref… importable). Les deux premiers jours, on est hyper courageuse et on le met. Mais notre reflet dans les vitrines nous font peur, les regards des collègues en disent long, et il nous manque en fait notre manteau noir. On n’a plus qu’à espérer avoir une petite nièce babos sur les bords qui nous en débarrassera.

Un tee-shirt de groupe / film
Qu’est ce qu’on est faible et émotive… Il suffit qu’on ait écrasé notre larme à la fin de « Into the wild » et on en cherche le tee-shirt partout (on peut même se moucher dans la manche si on se fait une rediff). On sort d’un concert mortel de Kylie Minogue où on a dansé comme une godiche pendant une heure et demie, et direction le stand merchandising. Sans s’en rendre compte, on se retrouve avec un tee-shirt à 25 € qui nous paraît bien inutile le lendemain. Et des comme ça, on en empile des dizaines…

Un top de créateur bizarre
On travaille comme une damnée, on n’est pas partie en vacances depuis 6 mois, on a le droit de se payer une fringue de créateur. On opte pour un top, c’est le plus abordable. C’est là que les ennuis commencent. Même si on a un gros doute sur la couleur, on se dit qu’il sait ce qu’il fait le créateur et on ne trouve jamais rien à porter avec. Ensuite, pour être unique au maximum, on se précipite sur un truc avec des rubans et des fermetures éclairs dans tous les sens et on ne comprend pas comment ça se met.

Une salopette
Le retour des années 80, ça a fait mal, très mal à notre armoire. Et la salopette, c’est le pire. Portée par Sabine Paturel et Carlos à une époque où le mot « ridicule » n’existait pas encore, et après une tentative de retour ratée dans les années 90 par Benny B et Kriss Kross, il faut l’accepter : c’est FINI. Mais dans un moment de faiblesse, on a craqué, sans même l’excuse de repeindre le salon ou d’être enceinte. On a essayé de la rendre cool en l’accessoirisant, et au final rien. Elle est juste moche.

Un béret
Après avoir vu « Le fabuleux destin d’Amélie Poulain », il nous a paru évident qu’on devait porter un béret parce que c’est la classe et ça donne un air espiègle. Sauf que Audrey Tautou a la coupe de cheveux qu’il faut, et qu’avec notre blond frisée / tignasse de Tina Turner, ça ne va pas du tout. Et puis dans le film, on ne voit pas que le béret, ça graisse les racines, ça fait une démarcation sur les cheveux si on garde trop longtemps et ça tombe tout le temps. Résultat, le béret sert de lit à notre ratatouille en peluche.

Des cuissardes
Ca va très bien à Pamela Anderson dans « Barbarella », un peu moins bien à Francis Lalanne mais ce n’est pas notre modèle, il paraît que ça fait des jambes de gazelle à tout le monde, donc on a pensé que ça nous aiderait à trouver un mec. Grossière erreur ! Car les cuissardes peuvent être très chouettes portées avec une jupe courte, mais on ne va pas aller au boulot comme ça, et quand on les porte on a l’impression de faire de la figuration dans « Les trois mousquetaires ». 200 € jetés par les fenêtres.

Un pull suédois
Pour celles qui ont la chance de ne jamais en avoir acheté, le pull suédois est ce pull immonde en laine, souvent couleur blanc sale, avec des dessins d’élans, de chalets, de sapins ou de flocons de neige. Toujours trop court et très moulant au niveau des seins, il va très très bien aux mannequins anorexiques et aux modèles de H&M, mais pas à nous. D’ailleurs on aurait du le sentir venir en voyant Renée Zelwegger en porter dans un « Bridger Jones », c’était à vomir.

LES DIX RUPTURES DE STARS INEVITABLES QU’ON AVAIT PREDIT BIEN AVANT QUE VOICI NE FASSE SA COUV’

19 nov

Jenifer Anniston et Brad Pitt
C’était quand même bizarre cette histoire du coup de foudre Hollywoodien entre deux personnes qui n’avaient rien d’autre à faire ensembles que d’être beaux. On sait que Monsieur Pitt voulait fonder une petite famille (on s’est d’ailleurs portée volontaire, en vain) alors que Madame voulait faire du cinéma, ça collait pas. Et puis comme à l’époque on pensait que Brad était un bad boy, on ne comprenait pas son attirance pour les brushings Babyliss et les sourires  émail diamant. En même temps…

Britney et Kevin Federline
Mais qu’elle est conne cette pauvre Britney, à force de chanter des histoires de princes charmants, elle a vraiment cru que ça allait marcher. Le doux rêve du danseur fou amoureux et pas du tout intéressé qui ne demande qu’à vivre une petite vie de famille, c’était quand même du grand n’importe quoi. Surtout quand le mec quitte sa copine enceinte de son deuxième pour se mettre avec la chanteuse millionnaire. Et quand la bombasse se transforme en poule pondeuse, le glamour en prend un coup, le couple aussi.

Tom Cruise et Nicole Kidman
Dix centimètres d’écart, c’est déjà un départ difficile, surtout dans ce sens-là. Mais c’est surmontable, sauf quand le mec est un taré psychorigide enrôlé dans une secte, qui plus est avec les sourcils qui se rejoignent et la mèche rebelle. On sentait bien quelque part que Nicole méritait mieux, et qu’elle n’avait quand même pas trop l’air épanouie. Bref, on ne comprenait pas trop. Explication par rumeurs interposées une fois le divorce prononcé : le mariage aurait été un contrat arrangé de dix ans.

Lady Di et le Prince Charles
Même les frères Grimm n’ont pas imaginé une histoire pareille : la roturière qui épouse un Prince lui-même amoureux d’une autre, et qui fini par devenir l’idole de son pays. Et la princesse, petite chose fragile est devenue un papillon rebelle au grand cœur qui aide les enfants et les malheureux, tout en séduisant les ménagères, leurs maris et les gosses. Et comme devenir reine ça la saoule et que son mari est nul, elle divorce, refait sa vie, puis meurt dans un accident de voiture. Ca, c’est de l’histoire.

Flavie Flament et Benjamin Castaldi
Le coup du couple qui fait le même métier et se fait concurrence sans que ça créé des tensions, ça ne marche pas en fait. Et puis avec le Loft, Castaldi est quand même passé par tous les niveaux de la honte et du faire-valoir d’une télé pourrie, et rien que ça c’est un vrai tue l’amour. Avec sa mâchoire carrée et son sourire hypocrite, on n’arrivait pas à l’imaginer au lit avec une si petite chose blonde toute frêle. Depuis qu’ils ne sont pas ensembles, ils ont l’air beaucoup mieux d’ailleurs, ça veut tout dire.

Cameron Diaz et Justin Timberlake
Pourtant ils étaient ultra cools ensembles, genre jeune couple de stars qui fait du surf le week-end, mange des tacos devant la télé et se mate les DVDs de « Friends » avant de dormir. Et un jour, Justin a quitté son costume de post-ado sorti d’un boys-band, est devenu le mec le plus sexy du monde et a roulé des pelles à Scarlett Johansson dans son clip. Nous, on s’est sentie un peu trahie parce qu’on le croyait inoffensif, alors imaginez un peu Cameron qui s’est retrouvée toute seule sur sa planche, attendant les vagues.

Mel B et Eddie Murphy
Quand on a appris qu’ils étaient ensembles, on pensait que quelqu’un s’était trompé dans la news. Difficile quand même d’imaginer la Spice tigresse copuler avec Docteur Doolittle. Et pourtant, ça a fini avec un bébé, passé par un test ADN parce que le papa  tentait de ne pas assumer, et une séparation en grande pompe. Il faut dire qu’il a la bougeotte, puisque après s’être débarrassé de Mel B, Murphy s’est marié avec une productrice, pour divorcer 15 jours plus tard. Bref, le mec hyper stable dans sa tête…

Whitney Houston et Bobby Brown
Ce n’est pas qu’on le prévoyait ce divorce, on l’espérait. On la voyait la pauvre Whitney en train de s’autodétruire, droguée, malheureuse, et avec une carrière en chute libre. Tout ça à cause d’un mariage sclérosé qui a duré 14 ans… Alors oui, on a posé des cierges, on a porté des chapelets, on a tout fait pour que la diva de « Bodyguard » revienne, qu’elle nous refasse pleurer en chantant des ballades sirupeuses habillée en princesse et nous fasse découvrir de nouveaux brushings de l’espace.

Marilyn Manson et Dita Von Teese
Déjà, Marilyn Manson c’est une grosse blague. Qu’il trouve une femme capable de supporter qu’il soit plus maquillé qu’elle, c’est dur à croire. Et qu’elle ne soit ni bête, ni moche voire tout l’inverse, c’est louche. Donc on savait que ce mariage ne durerait pas, et il n’a même pas fini l’année. Depuis l’ex-femme est Madame Classe, et Manson se tape une petite actrice de 20 piges qui ne lui fait pas d’ombre, range sa chambre, reste à sa place et se déguise en Dita Von Teese quand elle est en société.

Pamela Anderson et Tommy Lee
Pauvre Pamela, elle a la poisse… En plus se supporter des poids énormes dans le tee-shirt, des ongles d’actrices porno et un maillot de bain rouge en toutes circonstances, il a fallu qu’elle croise le chemin de Tommy Lee. Un fou jaloux, violent, possessif qui la traque sur les tournages, menace de frapper les acteurs qui partagent ne serait-ce qu’une scène de bisous avec sa femme. Elle a eu du mal à s’en débarrasser alors qu’on l’encourageait dans notre tête, mais a fini par décrocher. Par contre elle a gardé les airbags.

LES DIX HYMNES DE FILLES INDEMODABLES

11 nov


« Girls just wanna have fun » de Cindy Lauper

C’est LA chanson des filles pour les 300 prochaines années, et rien ne pourra la dépasser. Car oui, les filles on envie de profiter de la vie, et oui on préfère être une fille normale bien dans sa peau qu’une bombasse à qui on ne fout jamais la paix. Et on adore toutes les nanas super cools du clips avec leurs fringues bizarres aux couleurs inadmissibles et leurs coiffures délirantes. Cindy, tu es notre idole, même si on ne comprend rien du tout à ton look !

« Express yourself » de Madonna
Même si de nos jours Madonna nous gonfle avec ses leçons de morale et ses airs de sainte depuis qu’elle a découvert la kabbale, il fut un temps où elle était la meilleure représentante dont les filles puissent rêver. Elle dit tout dans « Express yourself » : « Vous avez besoin d’une bonne main solide qui vous élève du sol, quelqu’un qui vous faire sentir comme une reine sur un trône, et qui vous fasse jouir au point de ne jamais redescendre ». Enfin ça, c’est notre traduction des paroles…

« Fighter » de Christina Aguilera
Christina Aguilera a clairement chanté quelques chansons pourries, mais elle a accouché de « Fighter » qui dit tout ce qu’on a envie de dire à un mec qui nous vient de nous briser le cœur : « Ca m’a rend beaucoup plus forte, m’a rendue meilleure, m’a rendue plus sage, alors merci pour avoir fait de moi une battante. Tu m’as fait apprendre plus vite, rendu ma peau plus résistante, m’as rendue plus intelligente ». Et ouais les mecs, c’est cliché mais c’est vrai, ce qui ne nous tue pas nous rend plus fortes.

« Feeling good » de Nina Simone
Ce qui est magique avec cette chanson, c’est qu’elle s’applique à toutes les situations. Quand on vient de se faire larguer, elle nous rappelle que demain est un autre jour et que tout va bien. Quand on vient de tomber amoureuse, elle exprime toutes les belles choses qu’on arrive pas à dire. C’est un concentré de bonheur et de calme qu’on se met en mode Repeat en prenant notre bain ou en préparant pour un petit dîner en amoureux. Parfaite aussi pour un matin ensoleillé où on va au bureau à pieds pour profiter.

« I’m so excited » des Pointer Sisters
Jamais une chanson n’aura aussi bien exprimé le désir ultra brûlant, l’envie d’une belle partie de jambes en l’air, en plus d’avoir un rythme irrésistible et une pêche de folie. Et dire que pendant des années on l’a chantée innocemment sans comprendre de quoi elle parlait, jusqu’à ce que l’on se penche sur les paroles : « Je veux t’aimer, te sentir, m’enrouler autour de toi. Je veux te serrer, te faire du bien, je n’en ai jamais assez. Et si tu te retires très doucement, je te laisserais partir ». C’est du propre !

« Big girls » de Mika
Même si on commence à se lasser du phénomène Mika, de son look de crevette enchantée et son côté « j’aime tout le monde, même les papillons », il faut avouer que « Big girls » nous a bien remonté le moral. Non pas qu’on se sente particulièrement visée à cause de notre culotte de cheval, mais au final elle s’adresse à toutes les filles qui ont un petit truc différent et qui l’assument. Dommage par contre d’utiliser des belles nanas plantureuses pour le clip, et des choristes squelettiques sur scène. Faudrait savoir.

« I will survive » de Gloria Gaynor
Alors que les beaufs footeux ont tout fait pour la gâcher à force de la torturer en fin de match, « I will survive » reste une de nos chansons préférées. En plus de son message positif, elle diffuse une énorme dose d’énergie qui nous aide à faire le ménage, supporter la queue à La Poste, ne plus faire la tronche dans le métro, et se redonner des forces au lieu de manger une demie tablette de chocolat aux noisettes. Et bien sûr, en soirée, elle relance n’importe quelle ambiance agonisante en deux minutes.

« Just like heaven » des Cure
Si les Cure se trimballent une image de groupe glauque qui passe ses soirées dans les cimetières et regarde des films de vampires le week-end, ils ont signé certains des tubes les plus pop de ces trente dernières années. Notre chouchoutte, « Just like heaven » nous rend hystériques dès la première note avec sa montée de guitare, ses paroles ras des pâquerettes et sa rythmique enfantine. Et puis Robert Smith c’est un peu le tonton cool qu’on avec qui on aimerait passer Noël, on s’amuserait un peu plus.

« What a feeling » de Irene Cara
Personne n’est aussi forte que Irene Cara pour faire des chansons qui nous donnent l’impression d’être la reine du monde. Dès qu’on écoute « What a feeling », on se croit dans « Fame », on court deux fois plus longtemps au footing, on nettoie les vitres deux fois plus fort et on sourie toute seule. Le risque : se laisser tellement emporter qu’on peut se mettre à danser en pleine rue, et malheureusement, dans la vie, les passants ne se mettent pas à danser avec nous, car eux ne l’entendent pas la chanson.

« Crucify » de Tori Amos
C’est vrai, la flamboyante Tori a plus tendance à nous déprimer qu’à nous donner envie de danser, mais s’il y en a une qui défend les femmes en permanence, c’est bien elle. Cette chanson peut se transposer à tous les cas, qu’elle s’adresse aux mecs ou à Dieu, ça nous parle. Nous non plus on ne veut pas se sentir enchaînée ou jugée, et nous aussi on en a marre que quoi qu’on fasse, ce ne soit jamais assez bien. Et ça fait plus de dix ans que dès qu’on entend les premières notes, on a l’impression qu’elle s’adresse à nous.

LES DIX HEROINES DE SERIE VRAIMENT COOLS

11 nov

Bree van de Kamp dans « Desperate Houswives »
Elle pourrait nous énerver à ranger ses légumes par ordre alphabétique, se refaire la raie nickel et être obsédée par la poussière, mais pas tout. Bree, c’est la classe internationale, notre Jacky O à nous, la reine de l’ensemble vintage bien porté, la diva du potager, la plus sexy des rouquines. Elle est une copine fidèle, rend les hommes tarés et ne sait pas s’occuper de ses gosses, elle ne partage pas ses recettes de muffins et aime faire la morale, mais elle reste l’héroïne de série la plus cool du monde.

Meredith Grey dans « Grey’s anatomy »
Elle est comme nous Meredith, elle est brillante sans se la péter, passe toujours après les autres, et galèèèèrrreeee avec les mecs. Pourtant elle est belle, elle est super forte en brushing même dans le speed, elle est gentille. En gros, elle se traîne juste une poisse pas possible et fini parfois par craquer. Et elle est humaine Meredith, elle a des failles et s’y engouffre parfois, mais on sait qu’elle va s’en sortir parce que c’est notre préférée et qu’on refuse qu’elle finisse vieille fille, seule avec sa une boite de ravioli.

Rachel Green dans « Friends »
On a beau avoir regardé des heures de série, aimé des tonnes de super filles qu’on voudrait être, Rachel reste une de nos chouchouttes. Déjà, elle nous a fait découvrir le Babyliss, et ça, c’est pas rien. Elle nous a aidé à assumer nos maladresses, notre petit côté superficiel, nous a fait aimer les fringues et les bruns avec deux pieds gauches, nous a poussé à s’acharner pour avoir le boulot de nos rêves, et nous a prouvé que comme Liane Foly, c’est pas grave de passer sur le billard quand on en a besoin !

Ally McBeal
Autant on a pas du tout envie de devenir anorexique avec trois poils sur le caillou, autant on adore le petit grain de folie de cette avocate hystérique. Elle est chouette Ally dans ses tailleurs mal coupés, à danser le jerk sur du jazz, à déranger tout le monde en réunion de boulot parce qu’elle a une vision à partager d’urgence, à déstabiliser les hommes et ne pas savoir qu’en faire une fois qu’elle en a enfin un. Et elle nous donne envie d’avoir un vrai travail, ce qui fait plaisir à maman.

Nancy Botwin dans « Weeds

Bon OK, elle passe son temps à mettre la vie de ses gosses en danger, se retrouve toujours dans des plans foireux et a tendance à s’enticher du me qu’il faut fuir absolument. Mais en attendant, elle assume complètement sa folie, se rase les jambes (au lieu de la session Epilation), elle a toujours un Starbuks à la main, elle ne perd pas son sang froid fasse à des mexicains dealers armés jusqu’aux dents, et puisse dans un gobelet quand elle a pas d’autre solution. Et elle ne se coiffe pas… Naturelle quoi.

Kate Austen dans « Lost »
Au début, elle nous gonflait un peu. Trop belle avec ses tâches de rousseur et ses dents blanches, trop bien gaulée, elle sait tout faire et a les deux beaux gosses de la série à ses pieds sans savoir lequel prendre. Et puis au fil des épisodes, on l’a trouvée plutôt sympatoche avec ses coups de sang bien sentis, ses petites vannes pour remettre Jack à sa place et ses débardeurs dégueulasses. Et après tout, si on se retrouvait à notre tour coincée sur une île déserte, on serait bien contente de l’avoir sous la main.

Carrie Bradshow de « Sex and the city »
Une fois passé le cap où on devient hyper complexée de la pauvreté de notre armoire face au défilé de mode quotidien de Carrie, elle devient notre meilleure cops virtuelle. En l’écoutant taper ses articles, on se dit qu’elle a vraiment tout compris à la vie et aux filles que nous sommes, et que certains devraient en prendre de la graine. Elle est la preuve vivante que 1/ on peut marcher avec des talons impraticables sans prendre les pieds dans les pavés, 2/ on peut être un sex symbol avec une mâchoire de cheval.

CJ dans « The west wing »

CJ est atrocement grande, elle est immense, elle dépasse tout le monde mais elle met des talons. Elle parle vite, garde la tête haute en toutes circonstance, elle comprend tout tout de suite, elle arrive à bosser comme une dératé sans s’énerver et subit au quotidien les pires vautours du monde: les journalistes. Elle porte des robes de soirées extravagantes et un carré impeccable. Elle ne haut pas la voix sans si vraiment elle craque. C’est THE working girl qui a la classe.

Ruth Fisher dans « Six feet under »

Ruth Fisher est merveilleuse. On aime sa crise existentielle en plein troisième âge, ses envies d’envoyer les gamins au diable, de rencontrer l’amour fou, de faire la hippie, de se défouler et surtout, DE VIVRE. Et on adore ses longs cheveux grisonnants, son look version la Petite maison dans la prairie, son air pincé toujours proche de l’explosion, sa cuisine toujours rangée et son obsession des repas équilibrés. On a limite envie de l’accueillir à la maison et de la chouchouter un peu, elle l’a bien mérité.

Angela Bower dans « Madame est servie »
Angela Bower a la sur-classe : c’est quand même la première héroïne à s’être offert les services d’un homme. Elle assume ses brushings choucroute, ses boucles d’oreilles clip de 2 kilos chacune, ses méga épaulettes, ses robes roses fushias, ses énormes lunettes crapaud. Et quel self-control d’avoir tenu aussi longtemps avec le beau Tony sous son toit sans godriolle, d’avoir attendu de ne vraiment plus tenir du tout pour le premier bisou. Sans oublier que c’est une working-girl ET une maman accomplie.

LES DIX FRINGUES QUI NOUS TRAHISSENT TOUT LE TEMPS, D’AILLEURS ON SE DEMANDE MEME POURQUOI ON LES PORTE

11 nov

La jupe portefeuille
La première question à se poser est : pourquoi portons-nous encore des jupes portefeuille, alors qu’à l’époque de nos mamans on les y obligeait et elles partaient en pleurant à l’école, affublées de ces horribles engins de torture ? La jupe portefeuille ne se ferme jamais correctement, et nous laisse les fesses apparentes dans 50% des cas. Dans les autres 50%, elle nous coupe les poignées d’amour en deux, et la ceinture glisse, même avec double nœud et une épingle à nourrice qui tient les nœuds.

La chemise
Comment un vêtement aussi simple devient-il un traître ? Déjà, une fois sur deux, on a les boutons qui s’écartent, et le soutif apparent, de face ET de profil. Ensuite, quand on veut la porter version super classe avec un petit pull au-dessus,  les épaules ne rentrent pas dans le pull et les boutons font des petites bosses. Sans oublier les chemises qui, en plus d’être mal coupées, sont rigides et nous ajoutent largement 3 kilos. On oublie les chemises blanches trop transparentes, sinon on va s’énerver.

Le body
Il faut être honnête : on avait oublié que ça existait. Jusqu’à ce que Madonna ne décide de le sortir du placard et d’en créer un pour H&M, et franchement cocotte, ton brushing et toi, vous auriez pu vous abstenir. Premier scandale, les clips à l’entrejambe ne tiennent pas. Ensuite, la culotte n’est jamais échancrée comme il faut. Quand c’est trop, elle nous coupe les hanches, quand c’est pas assez, elle nous coupe les fesses. Enfin, jamais assez près du corps, il nous fait un torse en forme de barrique.

Le manteau
L’hiver arrivant, il faut trouver LE manteau d’hiver et être prête aux sacrifices. Vu le prix de ces indispensables couvertures à manches, nous finissons toutes dans les mêmes boutiques pas chères, et avons toutes le même. D’autres, plus malignes ou argentées sortent des sentiers battus pour trouver la perle unique, qui répond malgré tout à la règle élémentaire du manteau : plus il est beau, moins il tient chaud. Heureuses celles qui se fichent de ressembler au bonhomme Michelin et se promènent en doudoune…

L’écharpe
Souvent, cette garce gratte voire démange, et nous nous retrouvons avec un cou rouge plein de griffures une fois arrivées au bureau, alors que NON, on n’a pas de chat. Si on décide de faire original en boudant le noir pour une écharpe blanche / vert pistache / vieux rose, elle est légèrement sale en une semaine, dégueu en deux, et importable en un mois. Et grande tendance de cette année, les créateurs ont décidé de nous vendre des écharpes immmmmmenses qui soit traînent par terre, soit nous étouffent.

Le tanga
Quand 6 fois par an « Zone Interdite » va filmer les plages du Brésil, il nous paraît évident que le Tanga, c’est quand même la meilleure façon d’être ultra sexy. Grossière erreur !!! Car nous achetons souvent ces quelques centimètres de dentelle par lot de 3 donc ils sont mal coupés, et la plupart du temps, les tailles 1, 2, 3 et 4 correspondent toutes à un 38. Du coup, le tanga nous rentre partout, nous gratte, nous sert, et on le regrette dans la demi-heure. Trop tard, on est déjà dans le métro…

La petite jupe en jean
Inoffensive de prime abord, la petite jupe en jean cache un lourd secret : elle roule. Mais pas tout de suite. Elle attend que vous marchiez avec pendant 2, 3 heures, prenant de l’assurance parce qu’en plus vous avez fait péter les bottes vintage, et là, elle entreprend son sabotage. Elle commence par rebiquer, puis telle un escargot démoniaque, elle roule sur elle-même, perdant 5 bons centimètres de longueur. Et vous fait ressembler à ces fameuses porteuses de Tanga, sauf qu’elles sont à la plage, et vous au bureau.

Le cache-cœur
Il devrait y avoir des cours de cache-cœur : comment on fait pour ne pas toujours avoir un sein découvert ? Comment on fait pour ne pas faire de bosse avec le fil qui est à l’intérieur ? Et pourquoi il perd 10 cm de longueur au bout d’une demi-heure ? Et pourquoi c’est le seul vêtement chaud qui va parfaitement avec les robes ? Pourquoi on ne peut pas faire autrement que de le porter de toutes les couleurs et de toutes les matières ? Pourquoi, pourquoi, pourquoi ? La vie est trop injuste.

Le fuseau
C’est vrai, on a qu’à plus le porter ce truc qui ne sert plus qu’aux gens qui font du vélo. Mais quand il n’y a vraiment plus rien dans le placard ou qu’il faut aller chercher un Starbucks le dimanche matin, on le met ce fuseau. Forcément, l’un des élastiques qu’on passe sous les pieds lâche une fois qu’on est dehors. Au pire, on le met dans la chaussette et on en parle plus. C’est moins catastrophique que cette terrifiante bosse de genoux qui ne part jamais. Même après le lavage, même aplati sous le matelas.

Le Slim
On l’a critiqué pendant des semaines, hyper sûres de nous genre « non, mais j’essaye même pas parce que c’est trop naze ». On les trouvait pathétiques les maigrichonnes avec leur Slim, leurs bottes et leur dégaine d’anorexiques dépressives. Et puis on a craqué. Séquence shopping en solo, on a enfilé la bête dans le secret de la cabine d’essayage. Et là, le choc, on est encore plus mal gaulée qu’on pensait, jambes trop courtes / fesses trop larges / bourrelets sur les côtés. Rien ne va.

LES DIX FILMS QUI NOUS REMONTENT LE MORAL

11 nov


« Little miss sunshine »
Ce n’est pas pour rien que « Little miss sunshine » a fonctionné grâce au bouche à oreille, puisque dès qu’on le voit on a envie d’en parler à la terre entière ! On a jamais autant ressenti de choses en si peu de temps : il fait autant pleurer que rire, et on reste accrochés à cette petite famille comme si c’était la notre. On rêve de pouvoir adopter l’extraordinaire Olive pour qu’elle nous fasse sa petite danse ou qu’elle court partout dans le salon en hurlant. Donc s’il ne devait rester qu’un DVD chez nous, ce serait celui-là.

« Big fish »
Si on avait autant d’imagination, on écrirait des livres à longueur de journée. « Big fish » c’est comme un conte de fées à notre taille, une histoire à laquelle on veut croire d’un bout à l’autre et qui nous donne envie de profiter de la vie. Tout est beau, poétique, un peu comme un rêve matérialisé, et puis notre côté fleur bleue est vraiment comblé par cette magnifique histoire d’amour. On aurait aussi pu choisir « Edward aux mains d’argent » ou « Sleepy Hollow », mais un seul Tim Burton à la fois.

« Quand Harry rencontre Sally »
C’est l’histoire la plus basique du monde entier, les super potes qui se tournent autour sans vraiment savoir si ça va marcher ou pas, les coups du destin qui séparent et réunissent deux âmes sœurs, bref, la routine. Et pourtant, Meg Ryan et Billy Cristal lui donnent un petit truc qui le met au-dessus du lot des comédies romantiques qu’on achète en double. Le risque c’est de commencer à se demander si on ne devrait pas tenter le coup avec notre vieux pote Julien qui est finalement plutôt pas mal.

« The eternal sunshine of a spotless mind »
On ne se remettra jamais de ce film. On en a vu des collections entières de films d’amour, mais celui-là… est différent. Il donne envie de tomber amoureux, en nous montrant à quel point c’est beau de l’être. Et de vraiment profiter de ce qu’on a pendant qu’on l’a, pas une fois qu’on l’a perdu. On les aime à la folie Jim Carrey et Kate Wintslet parce qu’ils ont tellement l’air à la ramasse, tellement libérés de toutes les barrières qu’on a encore. Allez, un peu de courage et on fera de notre vie un rêve nous aussi.

« Dirty dancing »
Il n’y a rien à faire, on peut regarder tous les films de danse du monde, c’est « Dirty dancing » qui nous fait le plus de bien. Déjà parce que Patrick Swayze est hot en bad boy avec ses muscles dans le dos, et que Jennifer Grey n’est pas une pétasse mais juste une fille normale comme nous, parce qu’on connaît absolument tous les dialogues et toutes les chansons par cœur, qu’on adore le look rétro de Cynthia Rodes, qu’on sait très bien qu’elle va réussir son saut à la fin mais on a peur quand même. Mythique.

« Le fabuleux destin d’Amélie Poulain »
On a bien essayé de le critiquer quand tout le monde s’est mis à l’aimer et le porter au nu. On a tenté les « elle est vraiment trop naïve, ça m’énerve » ou « mais c’est quoi cette vision édulcorée de Paris là ? » (avec la voix de Jean-Pierre Bacri), mais au final on garde ce sourire débile pendant tout le film, on fredonne la musique, et on se dit qu’on va peut-être se mettre au béret. Mais il ne faut pas s’en vouloir, c’est n’est pas parce qu’un film fait l’unanimité que c’est un navet commercial sans goût ni couleur.

« Bridget Jones »
On s’était régalé en lisant le livre, et on aurait pas pu rêver mieux que Renée Zellweger pour l’interpréter. Elle est exactement comme on l’avait imaginée :  aussi maladroite, aussi rougeaude, aussi mal habillée. Et c’est tellement rassurant de voir que quelqu’un peut avoir des journées encore plus pourries que les nôtres, enchaîner encore plus de gaffes et d’humiliation, toujours tomber amoureuse du mauvais mec et avoir des parents pires que nous. Donc Bridget, c’est notre reflet, mais en pire.

« O’Brother »
On ne dit même pas ça parce qu’il y a George Clooney et sa petite moustache dedans (même si ça aide), « O’Brother » est le plus cool, loufoque et improbable film des Frères Coen et on ne les remerciera jamais assez de l’avoir fait. L’évasion de ces trois pieds nickelés complètement délirante, semée de personnages bizarres, et inspirée de l’Odysée d’Homère, est un régal, sans parler de la musique. Les vieux classiques blues et country, ça nous change des musiques nases qu’on se tape depuis des années.

« L’histoire sans fin »
OK, on est un peu grande pour regarder les aventures d’Atreyu et son cheval Artax, mais on y peut rien, dès les premières notes de la bande originale, on est à fond. Il faut dire que depuis qu’on a vu « Mary Poppins » pour la première fois, on rêve de pouvoir rentrer dans les tableaux et les dessins, donc le concept du livre qui devient réalité, on aime. Comme ça, pendant une heure et demi, on laisse l’adolescente qui sommeille en nous s’extasier, et on relance le vieux débat « est ce que j’appelle ma fille Marina ? ».

« Le diable s’habille en Prada »
En même temps, difficile de faire plus girly et jubilatoire que « Le diable s’habille en Prada ». On se délecte de voir une boss plus ignoble et injuste que tous les patrons qu’on a eus réunis, on observe chaque tenue de Anne Hathaway, on bave un peu devant son amoureux, et on se prend à rêver de défilés haute couture, voyages et robes hors de prix. En plus de nous détendre, le film nous fait comprendre qu’on est pas si mal dans notre vie normale avec un chéri normal et un travail normal.

LES DIX TRUCS QUAND MEME ASSEZ CHERS POUR NOTRE PETIT SALAIRE QU’ON S’EST ACHETE TOUTE SEULE ET QU’ON NE REGRETTE PAS DU TOUT

11 nov

Un Ipod

C’est THE truc sans lequel on ne survivrait plus. Pour notre Ipod chéri, on retourne à la maison une fois arrivée à l’arrêt de bus, même si ça nous met en retard, on emprunte un câble pour le recharger au gros moche du travail qui nous drague depuis trois ans. On le bichone, on le nourrit de toutes les chansons qu’on trouve, classées par style, rangées en compil, on joue au Solitaire dessus pendant qu’on fait la queue au Shopi, on lui achète des coques super jolies de toutes les couleurs. On l’aime !

Un ordinateur portable

Avant, on pensait que l’ordinateur portable était un gadget de riches qui se la pètent en terrasse. Et puis un jour on a craqué (sous de Noël, prime de fin d’année, achat payable en dix fois…), et on en a acheté un. Sans jamais le regretter. Pendant les voyages en train, on mate des séries dessus, on peut checker nos mails de partout, frimer chez les copines, se prendre pour un écrivain en herbe sous la couette, écouter de la musique dans notre chambre d’hôtel quand on part en week-end. Indispensable.

Des fringues

Il y a des fringues qui valent le coup d’y passer une semaine de salaire, même si c’est pas moral. Les sweat-shirts tout moelleux American Apparel, malgré leurs couleurs banales et que tout le monde a les mêmes. La petite robe Maje hyper bien coupée, qui tombe parfaitement et ne moule pas les hanches. Le jean Diesel qui fait des fesses top et des cuisses galbées. La nuisette Agent Provocateur qui fait de nous une bombasse irrésistible. Le manteau Misolka indémodable et toujours très mal imité.

Des bijoux de grandes

On ne va quand même pas attendre qu’un mec nous les offre nos bijoux de dames, alors on le fait nous-mêmes. Le pendentif B in Love de Baccarat, transparent avec sa poudre de diamant. Le bracelet Heart Tag de Tiffany qui n’a pas d’époque et pèse deux tonnes mais c’est pas grave. La parure Swarovski qui brille de partout. Le gros bling-bling en or hyper vulgaire mais qui nous va trop bien. Et même ce petit diadème qu’on a jamais mis ailleurs que dans notre salon, mais on est quand même une princesse.

Des produits de beauté

La crème Nivea, ça va deux minutes. Quand on est un peu juste dans le porte-monnaie, on se contente de savon Body Shop aux fruits qui sentent tellement bons qu’on les mangerait. Niveau juste au-dessus, les extraordinaires crèmes pour le visage Nuxe : la crème étincelante, la rêve de miel, la Nirvanesque. Après on passe aux choses sérieuses avec la super crème Capture Totale de Dior, l’Aqua Fusion de Lancôme, la crème Caviar Luxe de La Prairie. Et là on se sent belles, on sent bon !.

Des voyages

Ras-le-bol du boulot, de la famille, de chouchou et ses potes, de la rediff de « Lost », on met les voiles. Rien de mieux pour se redonner un coup de fouet que de partir quelques jours sur un coup de tête, que ce soit dans une maison de campagne pas loin, ou carrément s’offrir quatre jours à New York, Berlin ou n’importe où. Le but étant de voir de nouvelles têtes, se débarrasser des mails et du portable, laisser quelqu’un faire notre ménage pendant quelques jours et utiliser nos RTT chéris à bon escient.

Un portefeuille cher

Il y a le portefeuille normal dans lequel on ne met pas grand chose et dont l’attache pression flanche au bout de trois mois. Et il y a le portefeuille pour lequel on casse la tirelire et qu’on garde des années, qui accuse le coup de nos 32 cartes de fidélités, nos tickets restaus, les photos des enfants / petits neveus, les dollars et livres dont on ne se sépare jamais, les jetons pour le caddie, le bracelet brésilien porte-bonheur qu’on a fait en colo à 14 ans. Celui-là, on ne le regrette jamais.

Des chaussures


Les belles fringues, c’est bien, mais sans les chaussures qui vont avec, ça ne sert à rien. On accumule donc les paires de toutes les couleurs, toutes les formes, avec des talons plus ou moins hauts, en daim, en velours, en cuir, à pois, avec des petits nœuds, des perles, des chaînes. En général on met toujours les mêmes, mais on les aime toutes. On craque aussi pour les bottes qui nous permettent de mettre des jupes sans avoir l’air à moitié nue. Là, une seule règle : qu’elles fassent un beau mollet !

Un vélo

Même si de plus en plus de villes se sont mises aux vélos en location libre, on sait que quand l’été arrive, c’est la grosse pénurie aux bornes. Alors après plusieurs pêches infructueuses qui nous ont poussée à aller au boulot à pieds (car on s’était juré sur la tête d’une paire de Prada qu’on ne prendrait pas les transports en commun), on a décidé d’en acheté un. On lui a fait une petite beauté en décorant le guidon, le panier  et même la selle, et maintenant on est toute fière sur notre fidèle destrier.

Un écran plat

On s’est longtemps dit que c’était trop matériel, inutile, superficiel, qu’on était au-dessus de ça et tout et tout. Mais un jour, sans même s’en rendre compte, on en a commandé un sur Internet et deux jours après, il trônait au milieu du salon. Le soir même, on regardait les derniers épisodes de la saison 5 de « 24 heures », et là, très grosse claque. Du coup, on a enchaîné les DVDs toute la nuit, « Ratatouille », « Big fish », « Sur la route de Madison », « Kill Bill », tout était mieux qu’avant.

LES DIX TRUCS DE NOTRE ENFANCE / ADOLESCENCE SUR LESQUELS ON ARRIVE PAS A METTRE UNE CROIX, MEME SI ON A PLUS L’AGE

26 oct

Les peluches
Au grand désespoir de notre amoureux, on en a partout : au bureau pour les moments de déprime, dans les placards parce qu’on n’a pas le cœur de les jeter, accrochées au porte-clé et au rétroviseur de la voiture. Voire dans le lit pour notre nounours préféré. On les fait parler, on leur fait faire des acrobaties, on les prend dans les bras quand un film nous fait pleurer ou qu’on a peur dans l’avion, on leur fait autant de bisous qu’au chéri qui est vexé. Mais c’est comme ça, c’est tout doux et on craque.

Les bonbecs
Les nounours en chocolat, les crocodiles Haribo, les fraises Tagada, les malabar avec les tatoos en décalco, les carambar avec leurs blagues par drôles, les boules de coco, la barbapapa en pot, les coca qui piquent, les lacets verts et rouges qui n’ont le goût de rien, les œufs au plat, les Dragibus, les réglisses en rouleau, les sucettes avec un chewing-gum au milieu, les cerises en gélatine qui font des boucles d’oreille, les roudoudou, les petits Jésus qui fondent… Autant de caries en rafale qu’on adore…

Les personnages cools
En même temps, ce n’est pas de notre faute, on est la cible et ils font tout pour nous en vendre. La number 1 toute catégorie, celle qu’on se trimballe depuis 10 piges, c’est bien sûr Hello Kitty qu’on a même en brosse à dents. Et puis Pucca en sac à dos. Emily the Strange et son chat diabolique en polo, My Melody en portefeuille, les Little Twin Stars en collier, Padington Bear en stylo, Snoopy en pyjama, Winnie l’Ourson en agenda, Bob l’Eponge en string, Dora en lacets de baskets. On craint.

Les films d’aventure pour ados
C’est pas qu’on n’est pas satisfaite par « Pirates des Caraïbes », mais on les reverra toujours ces films qui nous ont fait aimer les aventures et les courses au trésor. « Les Goonies », « Willow » avec le beau Val Kilmer, « Bandits Bandits » avec des effets spéciaux de fou, « Labyrinth » avec David Bowie, « Le Baron de Munchaüsen » auquel on a jamais rien compris, « Princess Bride », « A la poursuite du diamant vert », « La forêt d’émeraude », « Legend » avec Tom Cruise. On n’a même les DVDs.

Les Converse sales
Mettre des Converse, c’est une chose. Tout le monde en a une paire, on ne va pas en faire toute une histoire. Nous, notre problème c’est qu’on les met avec tout : les jeans, les jupes en jean, les robes à fleurs, les shorts en tweed, voir le maillot de bain en bord de mer pour ne pas se cramer les pieds. Et puis on les traîne jusqu’à ce qu’elles rendent l’âme, sans jamais les laver, avec des trous au bout et des lacets avec les Bisounours, et sur un coup de tête on a écrit « No future » sur le bout. C’est fait pour ça.

Les bijoux pour enfants
Chéri-bibi en est consterné, il a beau se ruiner pour nous offrir ce satané collier Baccarat à 230 euros, on ne jure que par nos babioles de toutes les couleurs. Même notre petite nièce a passé le cap et les a échangé contre une chaîne bling-bling, mais nous on se trimballe des colliers en plastique vert pomme, des barrettes avec des chats roses, des bagues en cœur qui clignotent, des serre-têtes à paillettes, des bracelets avec des soleils et des lunes. Le tout avec un petit tailleur, on est une grande quand même.

Les génériques pourris
On ne va pas jusqu’aux soirées Bougliboulga parce qu’on n’aime pas trop les réunions de beaufs version école de commerce en folie, faut pas déconner. Mais il faut être honnête, il suffit qu’une copine lâche les premières paroles de « Candy » en fin de dîner, et on est parties pour deux heures de blind-test pathétique : « Juliette je t’aime », « Jeanne et Serge », « Olive et Tom », mais aussi « L’amour du risque », « Côte Ouest » et autre « Maguy ». On est irrécupérables, et ce n’est pas bien grave.

Les séries AB
On ne va pas jusqu’à faire des insomnies pour suivre la vingtième rupture de Joanna et Cri-cri d’amour, mais si on tombe dessus en zappant, c’est impossible de ne pas mater un, deux ou dix épisodes. Pourtant c’est nul, c’est mal joué, les scénarios ont été écrits avec la main gauche et sans cerveau. Le truc cool avec ces séries : couper le son et refaire les dialogues, c’est presque plus intéressant que l’histoire de base. Et comme ça Bénédicte pourra dire « Merde » à José qui la trompe tous les deux jours.

Le vieux groupe qu’on a aimé à la folie
Pourtant on en a écouté d’autres trucs nuls depuis notre adolescence, on en a acheté des disques et des places de concert pour plein de groupes qu’on n’aime plus l’année suivante. Mais il y a LE groupe, celui du premier amour qu’on ne lâchera jamais. Pour preuve, le succès du retour de Take That, et les chaînes de mail de 10 kilomètres qu’on se fait suivre pour annoncer que les New Kids on the Block se reforment. Après tout, nos parents sont bien allés revoir The Police et Genesis (bon ok, la comparaison est nulle).

La vieille Game Boy grise
Elle est moche, elle a pris des coups, elle est lourde, mais on l’aime. Notre vieille Game Boy ne sera jamais remplacée par la translucide même si elle l’air cool, et non, non et non on n’achètera pas une DS parce que notre truc à nous, c’est « Tétris », « Mario Bros » et « Gargoyles ». De toute façon, le stylet, ça nous énerve d’avance et on va le perdre. La Game Boy old school est solide, infatigable, on l’embarque partout (métro, toilettes, voiture, vacances, sous la couette) et elle est super classe.

LES DIX PIRES ENDROITS POUR SE FAIRE DRAGUER

26 oct

En boîte

Le mec qui vient se coller à 2h du mat, transpirant la vodka orange avec une haleine de bouc est quand même particulièrement optimiste en pensant qu’il va choper un numéro de téléphone. En général, quand on sort danser entre copines, et même si ça peut exciter les mecs vu de loin, ce n’est pas pour qu’un ou plusieurs gros lourds viennent nous déranger. Et on n’est pas dupe, le mec tout seul qui va dans une soirée gratuite pour les filles, il ne vient pas pour écouter le dernier tube de Mika.

Au bureau

C’est certain qu’avec le temps qu’on passe au bureau, c’est encore là qu’on a le plus de chance de trouver un copain. Le problème c’est qu’en général, ce ne sont pas les célibataires qui draguent, mais les autres. C’est à ne rien y comprendre et pourtant c’est vrai, la quasi totalité des mails qui dérapent, des clins d’œil à la machine à café et des déjeuners douteux se déroulent entre gens maqués qui s’ennuient un peu et veulent se créer des sensations. Laissez ça aux célibataires, soyez sympas !!!

Dans les transports en commun
Il faut quand même qu’il soit idiot celui qui vient nous faire les yeux doux pendant qu’on sue, collée contre des gens qu’on ne connaît pas, croulant sous les sacs de shopping, avec le Ipod dans les oreilles ou la tête pas réveillée du matin. Mais l’homme ne perd jamais espoir, et même s’il voit qu’on a couru comme une folle pour ne pas arriver en retard et qu’on n’arrive même pas à respirer, il tente le coup. Et essuie bien entendu un très poli mais ferme « je ne suis pas d’humeur » avant de passer à la suivante.

Dans la salle d’attente
Si on est dans la salle d’attente du médecin, c’est qu’on a mal quelque part, pas qu’on cherche un mec. Mais il y en a qui ne reculent pas devant le nez bouché, les yeux gonflés, les cheveux gras après quatre jours au lit sans se coiffer, l’écharpe qui couvre la moitié du visage et les fringues froissées. Il nous propose d’échanger nos magazines quand on a fini, nous dit qu’on est bien jolie quand on est enrhumée et nous laisse passer avant lui. Alors on passe, mais il peut toujours courir pour notre numéro.

Dans les magasins
Le coup du mec qui fait semblant de nous prendre pour une vendeuse pour nous draguer, ça ne marche pas du tout. Tout simplement parce que les vendeuses ne travaillent pas avec leur manteau et leur sac. Et nous, quand on fait notre shopping tranquille, on a pas envie de parler. Surtout si c’est la tannée au Shopi pour le papier toilette, les haricots verts et le pack d’eau, ce n’est vraiment pas le moment de venir nous baratiner, on veut juste payer, rentrer à la maison et faire un truc plus sympa.

Au cinoche
Dans l’absolu, le cinéma devrait être l’endroit où on est le plus peinarde : on est dans le noir, on regarde un film qu’on a choisit et pour lequel on a payé une fortune comme nos voisins, il n’y a aucun raison pour que qui que ce soit nous raconte sa vie ou tente une approche. Et pourtant, il y a parfois des téméraires qui profitent de l’intimité de la salle et du moelleux des sièges pour s’asseoir juste à côté de nous alors qu’il y a des places partout et nous parler. A croire qu’ils aiment se faire jeter.

Au restaurant
Ce n’est pas un mythe, il nous est déjà arrivé qu’un petit malin nous paie l’apéro d’une table voisine ou nous fasse passer un message ou un numéro de téléphone par serveur interposé. Dans les films, on a toujours trouvé ça super romantique (il faut dire que le Don Juan en question est George Clooney généralement), mais entre le lapin à la moutarde et le fondant au chocolat, on a pas envie d’entamer la conversation avec un inconnu venu dîner en loser avec son copain moche, ou en bande de garçons en chaleur.

A la plage
Là pareil, dans les films ça marche très bien la drague à la plage, mais dans la vraie vie, on n’aime pas ça du tout. Tous les zozos qui viennent nous voir avec leur maillot de bain tout collé et leurs vieux poils nous donnent l’impression d’être tombée dans « Les Bronzés », et même si c’est un super top genre M. Pokora, on n’est pas là pour ça. Car il faut avouer qu’on est rarement à l’aise en bikini, on est toujours trop blanche,  nos petits bourrelets nous gênent, on ose ni bouger ni se lever. Bref, c’est pas l’endroit.

A un mariage
C’est vrai que de voir les amoureux se papouiller et se regarder avec des yeux de merlans frits, ça nous donne envie de trouver un petit amoureux le plus rapidement possible. L’alcool aidant, il se peut qu’on se laisser tripoter par le cousin de la mariée, lui-même passablement échauffé par l’ambiance. Mais en général, ça fini mal. Soit on passe la nuit avec et c’est la grosse déprime le lendemain, soit on se met à boire à deux et ça termine dans le vomi. Donc le mieux, c’est encore de ronger son frein.

Dans l’avion
Ce n’est pas parce qu’on est coincés pendant des heures côtes à côtes à l’étroit qu’on est obligés de se parler. Malheureusement, il arrive qu’on tombe sur LE beau parleur qui saute sur l’occasion pour nous raconter ses voyages partout dans le monde, critiquer les plateaux repas parce qu’il a forcément eu mieux ailleurs, le tout en faisant semblant de ne pas remarquer qu’on a un casque sur les oreillers et qu’on essaie de suivre le film. Le mieux c’est encore de faire semblant de dormir, on a la paix même si on s’ennuie.

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