SO FUCKIN PROUD
11 sept
11 sept
18 juin
Ce week-end, je suis allée voir Dirty Dancing au Grand Palais. Pour 1000 raisons que je ne comprends pas, le Cinéma Paradiso organisé par MK2 se fait défoncer par les visiteurs qui ne trouvent que des trucs négatifs à raconter. Sauf que c’était très chouette.
D’abord, j’ai drôlement bien mangé. Et quand je mange bien, je suis heureuse.
Au dessus de nos têtes, c’était magnifique.
Il y a des gens qui faisaient du roller, mais avec mon genou en mousse, je me suis contentée de les regarder.
Il y avait aussi plein de jeux vidéos de toutes les époques (et là, tu vois à quel point tu es vieille…), et un Tree of Life.
Le soir, bien installés dans des fauteuils de cinéma, j’ai regardé Bébé ne pas rester dans un coin, avec ma copine Karine. Dans la salle, il y avait d’autres copines croisées par hasard, parce que merde, c’est Dirty Dancing quand même.
Et du coup, comme tout ça c’était bien cool, j’ai re-bien mangé. Ouais.
14 juin
Comme chaque année, Pirate et moi sommes allés à Monaco pour voir des stars de la télé. Enfin « voir », je dis n’importe quoi parce qu’en vérité, on leur a parlé. Parfois c’était nul (la meuf de Revolution, le connard derrière Hatfields & McCoy…) et parfois c’était absolument merveilleux (Aden Young, Tom Fontana, Phil Collinson, Katie Jacobs, Eammon Walker).
Le matin, on prenait un petit déj de lion (jeu de mots…)
Pirate s’installait ensuite confortablement sur un tabouret à sa taille pour attendre les vedettes, et après, il enfourchait la caméra.
On a croisé la route de gens un peu décevants comme Jeremy Piven, qui a quand même été Ari Gold pendant 8 ans dans Entourage, et qui est maintenant vraiment mou du genou. No fuckin sex appeal, man. Et puis donc Tom Fontana et Eammon Walker pour un gros moment nostalgie / Oz, et Eric Braeden, le mec qui rend les mamies folles dans Les feux de l’amour. Et puis Aden Young, homme de ma vie, et Donald Sutherland, le monsieur le plus impressionnant de la planète.
Un soir, on a été à la fête d’anniversaire des Feux de l’amour (40 ans quand même…). Il y avait des serviettes en papier vraiment classes que j’ai volées, et c’était dans un hôtel de bourgeois.
Et puis bon, le mercredi matin, il a bien fallu tourner l’émission en plateau, et c’était flippant. Ma rédac chef et moi, on avait les mêmes chaussures Annabel Winship, on est des vraies femmes. Pour tromper la peur, j’avais un petit kit remonte moral, et Pirate rigolait avec un monsieur qui ressemblait quand même beaucoup à Steven Spielberg.
Et aussi, il y avait un garçon qui appartenait à ma famille de coeur, celle de PJ.
Et maintenant, bha c’est la grosse déprime à Paris. Normal.
28 mai
Tout ça pour vous dire que cette année, je suis allée A CANNES. Je le mets en majuscules parce que je ne suis pas allée à la ville Cannes, mais au monde Cannes, le Festival de Cannes, le truc qui semble absolument hors de portée au commun des mortels. Je suis une mortelle, mais j’y suis allée quand même. Bref, en gros :
J’ai vu plein de films, mais surtout celui-là qui m’a totalement retournée :
J’ai aussi vu As I Lay Dying, le premier film de James Franco en tant que réal. Il était dans la salle, et j’étais triste parce que régulièrement, les gens quittaient la salle. Il faut dire que le film est vraiment glauque. Et qu’on voit à peine Danny McBride = grosse déception.
C’était parfois dans des salles tellement grandes que les gens paraissaient minuscules, de ma place.
Quand on sortait des films, la vue, ça donnait ça. Je pensais un peu aux parisiens en botte de pluie.
Devant le palais, les gens attendent sur des escabeaux, du matin au soir, qu’il pleuve / neige / vente / crame. Et quand ils s’absentent, les escabeaux sont attachés par des chaines et des cadenas. Genre trésor, quoi.
De temps en temps, je faisais des coiffures à mes collègues pour qu’elles soient trop belles en soirée ou pour monter les marches. Ce que je n’ai pas fait, moi, d’où l’absence de photos paillettes (mais j’y allais pas pour ça, en même temps).
7 avr
Je vais être un peu radine sur ce post, mais pas trop. Parce que ce week-end, j’ai vécu un des plus beaux moments de ma vie. Un moment que je n’attendais pas, parce que je pensais qu’il n’arriverait jamais, et que parfois, rêver en vain fait mal. Mais comme un miracle, pendant quelques heures, j’ai partagé l’espace de celui qui a tout créé, tout modelé pour mieux briser. Et même, pendant quelques secondes, c’était ses yeux dans les miens, et le reste du monde mis de côté. Parce que le mystère est la source de toutes les histoires, la source de toutes les vies. Parce qu’il ne sert à rien de tout vouloir comprendre. Quand le rêve et la réalité se superposent, ça donne un instant suspendu, flottant, éblouissant, et moi je l’ai vécu.
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